Une mission du Conseil des droits de l'homme à Gaza
La mission d'établissement des conflits du conseil des droits de l'homme sur les violations des droits de l'homme lors du récent conflit à Gaza a commencé ses travaux à Genève cette semaine.
Cette mission est composée de 4 membres et dirigée par le juge Richard Golstone qui déclarait :
"Je voudrais souligner que notre enquête sera concentrée non pas sur des considérations politiques mais sur une analyse objective et impartiale du respect par les parties au conflit de leurs obligations aux termes du droit international des droits de l'homme et humanitaire, notamment leur responsabilité d'assurer la protection des civils et des non-combattants ".
La mission a pour mandat " d'enquêter sur toutes les violations du droit international humanitaire et des droits de l'homme commis à tout moment dans le contexte des opérations menées à Gaza entre le 27/12/2008 et le 18/1/2009, avant, pendant et après ."
La mission a l'intention de visiter les zones les zones affectées dans le sud d'Israël et les territoires palestiniens occupés et a requis la coopération du gouvernement israélien.
( Il était temps que cette mission se mette en place et surtout qu'elle n'oublie pas qui est l'agresseur ! )
Pour John Holmès, le représentant de l'ONU, la vie à Gaza devient impossible !
" A Gaza, l'humanité arrive derrière la politique. Un misérable flux de fournitures est ce que le monde a de mieux à offrir à des civils pris au piège d'une impasse politique " a déploré le secrétaire général adjoint aux affaires humanitaires.
" La reconstruction et l'assistance aux plus vulnérables doit passer du secondaire à la priorité " ; " La protection, la nourriture, l'eau, les services de santé et les abris sont des besoins fondamentaux, pas des objets de marchandage ".
Selon John Holmès, près de 75% des 1,5 million d'habitants de Gaza ont besoin d'une assistance , " mais même les importations les plus essentielles sont sujettes à des limitations drastiques de la part des autorités israéliennes ".
" Israël parait considérer la ruine de centaines de milliers de vies et de moyens de subsistance comme le prix collectif à payer pour les civils de Gaza, pour les actes de quelques uns d'entre eux ".
" Si Israël a la responsabilité première de cette terrible crise de la dignité humaine, le Hamas est aussi fautif pour les attaques inutiles et indiscriminées qu'il a perpétré et autorisé depuis si longtemps ".
Selon lui, un bon point de départ serait la réouverture des postes frontières à tous les biens humanitaires essentiels et aux biens nécessaires à la reconstruction, tandis que l'aide humanitaire doit être reconnue comme impartiale et neutre par Israël et par le mouvement palestinien et le Hamas.
Le coordonateur spécial pour le processus de paix qui a visité Gaza pour évaluer la situation, 100 jours après la fin du coflit a déploré l'absence de progrès et la persistance des démolitions.
( source : ONU )
Cette mission est composée de 4 membres et dirigée par le juge Richard Golstone qui déclarait :
"Je voudrais souligner que notre enquête sera concentrée non pas sur des considérations politiques mais sur une analyse objective et impartiale du respect par les parties au conflit de leurs obligations aux termes du droit international des droits de l'homme et humanitaire, notamment leur responsabilité d'assurer la protection des civils et des non-combattants ".
La mission a pour mandat " d'enquêter sur toutes les violations du droit international humanitaire et des droits de l'homme commis à tout moment dans le contexte des opérations menées à Gaza entre le 27/12/2008 et le 18/1/2009, avant, pendant et après ."
La mission a l'intention de visiter les zones les zones affectées dans le sud d'Israël et les territoires palestiniens occupés et a requis la coopération du gouvernement israélien.
( Il était temps que cette mission se mette en place et surtout qu'elle n'oublie pas qui est l'agresseur ! )
Pour John Holmès, le représentant de l'ONU, la vie à Gaza devient impossible !
" A Gaza, l'humanité arrive derrière la politique. Un misérable flux de fournitures est ce que le monde a de mieux à offrir à des civils pris au piège d'une impasse politique " a déploré le secrétaire général adjoint aux affaires humanitaires.
" La reconstruction et l'assistance aux plus vulnérables doit passer du secondaire à la priorité " ; " La protection, la nourriture, l'eau, les services de santé et les abris sont des besoins fondamentaux, pas des objets de marchandage ".
Selon John Holmès, près de 75% des 1,5 million d'habitants de Gaza ont besoin d'une assistance , " mais même les importations les plus essentielles sont sujettes à des limitations drastiques de la part des autorités israéliennes ".
" Israël parait considérer la ruine de centaines de milliers de vies et de moyens de subsistance comme le prix collectif à payer pour les civils de Gaza, pour les actes de quelques uns d'entre eux ".
" Si Israël a la responsabilité première de cette terrible crise de la dignité humaine, le Hamas est aussi fautif pour les attaques inutiles et indiscriminées qu'il a perpétré et autorisé depuis si longtemps ".
Selon lui, un bon point de départ serait la réouverture des postes frontières à tous les biens humanitaires essentiels et aux biens nécessaires à la reconstruction, tandis que l'aide humanitaire doit être reconnue comme impartiale et neutre par Israël et par le mouvement palestinien et le Hamas.
Le coordonateur spécial pour le processus de paix qui a visité Gaza pour évaluer la situation, 100 jours après la fin du coflit a déploré l'absence de progrès et la persistance des démolitions.
( source : ONU )