La sratégie de la banque mondiale
" Un milliard de personnes vivent dans des États défaillants ou paralysés par un conflit . Ces pays sont souvent pauvres " déclare le Président de la Banque mondiale, Robert Zoellick.
" Songez à la perte que représente le fait de laisser un milliard de personnes dans le dénuement le plus complet, en termes d'énergie, de créativité, d'invention et de possibilités gaspillées au plan humain " .
A Genève, Robert Zoellick a insisté sur la nécessité de sécuriser le développement " en assurant notamment la sécurité, la légitimité, la gouvernance et l'économie aux seins des États fragiles, afin de faciliter le passage de situations de conflit à un état de paix ".
" Ce n'est qu'en sécurisant le développement que nous pourrons assurer des bases suffisamment solides pour briser l'engrenage de la fragilité et de la violence ".
Il a plaidé en faveur d'un renforcement des forces de maintien de la paix et de leur maintien en place pendant des durées plus longues pour permettre la reconstruction, le redressement économique et la stabilité ".
Cette approche consiste à rechercher la participation des autorités locales dans l'organisation de l'aide, de façon à permettre aux gouvernements faibles de développer leur propre expertise et de devenir ainsi capable de fournir eux-mêmes des services et de gagner en légitimité auprès de leur peuple. "
La Banque mondiale utilisent les ONG pour que les aides arrivent rapidement aux communautés locales ". !!!
( Photo : siège de la Banque mondiale à Washington DC ) )
La Banque mondiale est décidée à lutter contre la corruption.
Elle veut contribuer à mettre en place des institutions et des systèmes nationaux robustes, transparents et responsables, au moyen de l'aide au pays.
Elle veut étendre les partenariats aux institutions multilatérales et bilatérales de développement, à la société civiles, au secteur privé et à d'autres acteurs, dans le cadre d'initiatives conjointes de lutte contre la corruption.
Elle veut minimiser les risques de corruption dans les projets financés par la Banque, en procédant en amont, diligenter des enquêtes, renforcer les contrôles...
" Songez à la perte que représente le fait de laisser un milliard de personnes dans le dénuement le plus complet, en termes d'énergie, de créativité, d'invention et de possibilités gaspillées au plan humain " .
A Genève, Robert Zoellick a insisté sur la nécessité de sécuriser le développement " en assurant notamment la sécurité, la légitimité, la gouvernance et l'économie aux seins des États fragiles, afin de faciliter le passage de situations de conflit à un état de paix ".
" Ce n'est qu'en sécurisant le développement que nous pourrons assurer des bases suffisamment solides pour briser l'engrenage de la fragilité et de la violence ".
Il a plaidé en faveur d'un renforcement des forces de maintien de la paix et de leur maintien en place pendant des durées plus longues pour permettre la reconstruction, le redressement économique et la stabilité ".
Cette approche consiste à rechercher la participation des autorités locales dans l'organisation de l'aide, de façon à permettre aux gouvernements faibles de développer leur propre expertise et de devenir ainsi capable de fournir eux-mêmes des services et de gagner en légitimité auprès de leur peuple. "
La Banque mondiale utilisent les ONG pour que les aides arrivent rapidement aux communautés locales ". !!!
( Photo : siège de la Banque mondiale à Washington DC ) )
La Banque mondiale est décidée à lutter contre la corruption.
Elle veut contribuer à mettre en place des institutions et des systèmes nationaux robustes, transparents et responsables, au moyen de l'aide au pays.
Elle veut étendre les partenariats aux institutions multilatérales et bilatérales de développement, à la société civiles, au secteur privé et à d'autres acteurs, dans le cadre d'initiatives conjointes de lutte contre la corruption.
Elle veut minimiser les risques de corruption dans les projets financés par la Banque, en procédant en amont, diligenter des enquêtes, renforcer les contrôles...