Des nouvelles du site " cyberacteurs "
Une dépêche de l'agence Reuters du 5 mai précise que la justice allemande a débouté mardi la firme agroalimentaire Monsanto qui réclamait la levée du moratoire sur la culture du maïs MON 810.
Monsanto demandait en procédure d'urgence l'annulation de la décision prise le 14 avril par le ministre allemand de l'agriculture, qui a suspendu la culture d'un type de mais OGM qu'elle produit.
Sa plainte en référé a été rejetée par le tribunal de Braunschweig, dans le nord de l'Allemagne.
Le tribunal a rappelé que la loi allemande sur les organismes OGM autorisait le gouvernement à interdire une nouvelle variété d'OGM s'il existe une suspicion de risque et qu'il ne lui est pas nécessaire de disposer des preuves scientifiques avérées de sa dangerosité ".
L'entreprise allait examiner ses différentes possibilités juridiques. Monsanto peut désormais engager une procédure judiciaire ordinaire.
La représentante de Monsanto estime que la décision du tribunal limite la liberté des agriculteurs de recourir aux nouvelles technologies ( ! ).
Nouvelles données sur la toxicité indiscutable du Bisphénol A :
Selon 2 études récentes :
- les prématurés sont 10 fois plus exposés que la population générale ;
- l'exposition de rats femelles à des doses 20 à 40 fois plus faibles que la norme européenne se traduit par un effet sur le mécanisme de la spermatogénèse chez la 3ème génération.
La visite à Paris des professeurs et spécialistes américains invités par le réseau Environnement santé, a permis d'apporter une réponse claire aux déclarations de Mme Bachelot sur l'innocuité du Bisphénol A.
La littérature scientifique montre dans son ensemble que la toxicité du Bisphénol A est incontestable et que la quasi totalité de la population est imprégnée, ce qui justifie l'interdiction dans les biberons et autres plastiques alimentaires.
Le Réseau Environnement santé se réjouit de la décision d'éliminer les biberons au BPA prise par la mairie de Paris et à la suite de celle-ci par la mairie de Reims.
Le RES appelle les maires de France à prendre ce type de mesures.
Monsanto demandait en procédure d'urgence l'annulation de la décision prise le 14 avril par le ministre allemand de l'agriculture, qui a suspendu la culture d'un type de mais OGM qu'elle produit.
Sa plainte en référé a été rejetée par le tribunal de Braunschweig, dans le nord de l'Allemagne.
Le tribunal a rappelé que la loi allemande sur les organismes OGM autorisait le gouvernement à interdire une nouvelle variété d'OGM s'il existe une suspicion de risque et qu'il ne lui est pas nécessaire de disposer des preuves scientifiques avérées de sa dangerosité ".
L'entreprise allait examiner ses différentes possibilités juridiques. Monsanto peut désormais engager une procédure judiciaire ordinaire.
La représentante de Monsanto estime que la décision du tribunal limite la liberté des agriculteurs de recourir aux nouvelles technologies ( ! ).
Nouvelles données sur la toxicité indiscutable du Bisphénol A :
Selon 2 études récentes :
- les prématurés sont 10 fois plus exposés que la population générale ;
- l'exposition de rats femelles à des doses 20 à 40 fois plus faibles que la norme européenne se traduit par un effet sur le mécanisme de la spermatogénèse chez la 3ème génération.
La visite à Paris des professeurs et spécialistes américains invités par le réseau Environnement santé, a permis d'apporter une réponse claire aux déclarations de Mme Bachelot sur l'innocuité du Bisphénol A.
La littérature scientifique montre dans son ensemble que la toxicité du Bisphénol A est incontestable et que la quasi totalité de la population est imprégnée, ce qui justifie l'interdiction dans les biberons et autres plastiques alimentaires.
Le Réseau Environnement santé se réjouit de la décision d'éliminer les biberons au BPA prise par la mairie de Paris et à la suite de celle-ci par la mairie de Reims.
Le RES appelle les maires de France à prendre ce type de mesures.